Heureusement que le budget de l’État est sans fin,
10 milliards d’euros de plus ou de moins,
Quand on a déjà 2.647 milliards de dettes,
Ce n’est pas si peu qui va gâcher la fête.
Anecdote pourtant comique, cette taxe sur les dividendes,
Mise en place pour rembourser des erreurs du passé,
Prélevée sur les multinationales, dociles pour être ponctionnées,
Tu vois bien, tout le mal fait, touches aux dividendes, elles te le rendent.
L’impression d’avoir des clowns à la tête de l’État,
C’est assez facile quand on est tout en bas,
Mais il faut bien avouer que dans certains cas,
Le doute n’est plus permis, ils sont bien en mode tas.
C’était une cible idéale, les dividendes et taxer le capital,
Rien de plus facile pour rendre ce bas peuple plus docile,
Montrer que l’on jugule les plus riches, tenus dans leurs niches,
Sauf que maintenant, les smicards devront régler la note bancale.
Alors oui, c’est facile de critiquer, quand on les pieds dedans,
Bien malin nous aurions été pour deviner cette erreur de géant,
Passons, que va-t-on faire maintenant, c’est le plus inquiétant,
Pas convaincu qu’aux affaires, ce ne soient pas encore des glands.