La hass c’est que les banques jouent avec ton blé,
Parier sur la hausse du coton sur les marchés financiers,
Quand elles brassent des milliards, toi pauvre crevard,
Tu peux toujours payer des agios pour tes écarts.
Mais quand ces costards partent en vrille,
Pour loufer en loucedé comme des filles,
C’est l’Etat qu’ils viennent chercher,
Pour la faillite tenter d’éviter.
Alors le hollandais voulait les passer à sa sauce,
Tel un boucher, il a juré de tout découper,
Mais quant il s’est retrouvé devant ces sacs d’os,
Il s’est juste contenté de se faire limer.
Une fois de plus, les banquiers pourront brasser,
Affamer une partie du monde pour d’la money,
Ta vie de misère tu sais où tu peux te la carrer,
Le monde que l’on a créé, restera sans pitié.