Les mayas avaient finalement donc raison, la fin d’un monde,
C’est celle de la politique et de ces crédits immondes,
Ceux qui croyaient que les Etats pouvaient dépenser sans compter,
Seront les premiers à raquer, comme des vaches à lait, se faire traiter.
Tu croyais pépère de gauche, t’as voté pour lui,
Tu ignorais qu’il ferait n’importe quoi, du coup tu n’as plus envie,
La crise a bon dos, les hausses sont tous azimuts,
Chômage, impôts, et même parfois ton asticot dans ton calbute.
Fais pas comme nos amis chypriotes,
Te laisse pas faire carotte,
Sinon ils vont te la mettre, la biscotte.
Gaffe au fisc, il est affûté,
Il va regarder de près, ton blé,
Si t’es pas réglo d’emblée,
Tu vas le regretter.
Si tu veux réduire la facture,
Fais pas comme ces enflures,
N’envisage pas de réduire la fracture,
Sociale ou pas, soigne tes blessures.
Petit, faut pas flancher, c’est rigolo,
Paie tes impôts quand il le faut,
Tu éviteras ainsi leur suppo,
Qui glace le sang jusqu’aux os.
Pour le fisc, pas trente-six échappatoires,
De la vodka, toi tu ne veux pas en boire,
En Belgique, tu n’as pas la frite d’y aller,
Alors mon gars passe à la caisse, faut raquer.
Quand on est un moyen, on nous casse les reins,
Faut être blindé pour pouvoir tous les envoyer chier,
Des petites réductions d’impôts, c’est ton seul moyen,